Du P.M.U au Pari Pris sur l’Avenir.

Voila une cinquantaine d’années que nous sommes « in » dépendants.

Plus de cinquante ans que nous aliénons notre monnaie à l’histoire monétaire de la France.

Plus de cinquante ans que les turfistes sénégalais parient sur le tiercé français, comme si nous n’avions pas assez de chevaux de courses au Sénégal.

Nous Sénégalais parions sur les chevaux de course français, montés par des jockeys français et dans des hippodromes français.

Nous aurions pu faire le pari inverse, et ne me dites surtout pas que le pari et les jeux de hasard sont interdits par l’islam.

Je ne le sais que trop bien et que tout abus est dangereux pour la santé financière.

Moi je vois le nombre d’emplois que nous pouvons créer, les salaires des jockeys, palefreniers, propriétaires de chevaux et les annexes : statisticiens, comptables, agents de sécurité, commerçants etc.

La rénovation de l’hippodrome Tanor Anta Bakhar,  du stade Wotel à Louga, du champ de course à Thiès et de Kébemer.

Des accords de coopération que nous pourrions signer avec le Qatar, le Koweït, le Bahreïn et l’Arabie Saoudites pour obtenir des purs sangs arabes.

GBF

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